Un drôle de constat, surtout pour démarrer un blog. Et non, les chevaux ne sont pas une métaphore. Dans une boîte en plastique jaune et noir, j’avais des chevaux qui faisaient une sorte de crrrrrrrr crrrrrrrrr (assez irritant d’ailleurs) en courant sur une piste de 4 cm2 … et étrangement, ce petit jeu me rendait heureuse.
Et puis un jour, entre des mains jalouses, mon bonheur fut brisé et les chevaux libérés de leur petit prison.
Depuis, il m’est arrivé de penser à mon jeu et aux fantômes des chevaux flâneurs…
Et aujourd’hui, le 16 septembre 2010, jour mémorable, mes pur-sang m’attendaient en plein cœur de Paris, à deux pas de la Fontaine des Innocents, bien cachés sur l’étagère d’une librairie.
Quinze ans après, ils sont des chevaux sauvages, libres et mille fois plus heureux que dans ma petite boîte de l’époque.
Je leur dédie ce blog, car j’espère qu’il prendra la bonne voie pour atteindre leur liberté et leur félicité.
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